Geneviève Genicot écrit de la fiction et de la poésie depuis l’enfance. Ses textes sur la ville, la vie moderne, les bouleversements sociaux, écologiques et symboliques du capitalisme avancé, ont été publiés en revue (Marginales, Nouvelles d’Harfang, Bacchanales, Voix d’encre, Revue des Archers, Ressacs) et le recueil Sushi Bar, finaliste du prix Vargaftig, paraîtra chez F de Phosphène avec des photographies de Sophie Le Béon.
Hors de la page, lectures, installations, fresques, chœurs, vidéopoèmes font vivre les textes, tout comme les collaborations. Geneviève propose depuis 2022, avec Samantha Barendson, Fany Buy, Pauline Catherinot et Pauline Picot, la performance littéraire On se (re)voit très vite. Elle a réalisé des livres d’artiste avec Marie Ginet, Chantal Legendre, et illustré deux recueils de poésie de Cathy Ko (Gros Textes), dont Maîtresse Poet Poet, prix Joël Sadeler de Poésie jeunesse. En tant que dramaturge, elle a notamment accompagné Arts nomades, compagnie belge alliant théâtre et arts visuels.
Après avoir vécu longtemps à Grenoble et voyagé beaucoup en Europe, elle a retrouvé Bruxelles où elle a grandi. Docteure en science politique, elle est aussi romaniste.