Artiste polymorphe, l’Ami Terrien découvre le slam aux alentours de 2007. À l’occasion de la venue d’Un éléphant dans la ville, il rencontre un collectif de Lions avec qui il fera de la musique, des spectacles, des CD. Parallèlement, il monte une équipe de propagande satirique sur 48fm appelé le P’tit jeté di Lidje et fomente des explositions d’artmoney, jeux urbains autour de la destruction monétaire. Il élabore également des nanomanifestations en parallèle de son activisme dans l’ouverture des scènes du Lab’Oratoire. Il remporte plusieurs tournois, notamment de poésie érotique mais également quelques battles de compliments. Il a publié Micromégaphon (maelstrÖm) et Voix navigables (Boumboumtralala).