Marie-Édith Nijaki est native du Nord. Un premier métier d’analyste financière, mais une préférence pour l’analyse des sentiments, les jeux de mots et, depuis l’adolescence, une tendance naturelle à écrire des histoires. Pour imaginer ce qui n’existe pas, pour compléter les vides, réécrire le présent ou construire un futur à sa guise.

Ses parents d’origine polonaise et son mari vietnamien l’ont incitée à décaler son regard au-delà des frontières pour mieux appréhender la réalité et apprécier le quotidien.