Véronique Pingault vit en région parisienne. La légende familiale prétend que, lorsqu’on l’appelait, enfant, elle répondait invariablement : « Je finis mon chapitre et j’arrive. » Un jour, par jeu, elle a eu envie d’écrire ses propres histoires. Le reste du temps, son métier étant fort peu littéraire, elle compense sa frustration en embêtant ses collègues sur la ponctuation de rapports qui n’en demandent pas tant.