La poésie de Max Zouic lèche les heures qui s’écoulent jusqu’à l’ombre portée des mots dénudés. Le temps s’imprime sur le corps de son texte jusqu’à étirer l’attente à son extrémité. L’écriture de Max est pulsatile et organique. Elle voile l’impudeur trempée d’un amour en crue et dévoile des corps drapés, des âmes qui découchent sur un matelas de doutes qui râpent à gros grains.
Ce recueil est une ode à l’absence, un tourbillon intime qui ne laisse pas indemne.
Max Zouic dépose sa poésie dans les villes et dans le monde sur des Caillouzouic en bribes dévergondées pour qu’un jour on fasse la nique aux poésies hermétiques.
Elle travaille régulièrement avec d’autres artistes – plasticiens ou musiciens – ses poèmes ont récemment été exposés à la taverne Gutenberg à Lyon ainsi que dans plusieurs galeries parisiennes en diptyque avec le travail d’illustration de Rita Renoir.