Toi qui veilles, veuille à ton tour entrer dans cet espace du seul, l’endroit d’une suite assurée de textes conjoints, notés au hasard d’heures souvent nocturnes, qui sont comme les pages dispersées d’un journal à force fragmenté, le poème, à jamais inachevé, témoin de ce qui fut, en fin de compte, un mode de vivre, la conduite d’un bonheur
Michel Lambiotte,
extrait d’Espace du seul