
Dites seulement une parole, ô parole de Lorna, cette parole que vous dites, et elle résonne, résonne, dites seulement « Toi je te garde grand fou ! », et la mort refermera les portes à Kénalon.
Il n’est rien qui se puisse entendre hors le poème.
Il n’est pas de poème sans Lorna.
Jacques Crickillon