
Hitler a comblé les attentes qu’industriels et banquiers avaient placées en lui. En effet, il réalisa tous les points de leur « programme » plus diligemment, plus complètement et plus impitoyablement qu’ils n’auraient osé le faire eux-mêmes. Ailleurs aussi – en France, mais également en Belgique ou aux Pays-Bas –, le big business souhaitait l’arrivée d’un « homme fort ». Et poussés par les grandes entreprises, les États-Unis œuvraient en ce sens.
Ce livre d’histoire bien documenté est de ceux dont l’élite économique ne souhaite pas entendre parler.