
Métaphorique par excellence, sinon par nécessité, la silhouette somnambulique parcourt notre imaginaire, éveillant l’effroi, la fascination, le plus souvent l’incompréhension, l’éberluement.
Parts diurnes et nocturnes s’entrecroisent, se collettent, dégagent, à tout coup, trouble et flou dans lesquels la poésie cristallise son grain de sel.
« Sommes-nous tous somnambules ? »
Question à méditer, posée en filigrane des textes ici recueillis …