De charge et de froid interroge la dislocation, le nu, le froid et la mobilité insensée de la langue. Les attentats sont muets et laissent les apparences indemnes. L’eau brûle plus que le feu : cet ordre de réalité exalte une langue.
Victor Martinez est né en 1970. Il a récemment publié Poème de l’eau à l’Arbre à paroles (2009). Traducteur de Machado, Juan Ramon Jiménez, Quevedo, Neruda, il vient de coordonner pour Europe un dossier sur André du Bouchet (juin 2011).