
Il y avait ce rêve récurrent : je prenais un taxi, qui m’emmenait loin de la misère et des rues tristes de Saint Gilles, probablement pour toujours. Détail à l’époque troublant, il était tiré par des chevaux. Je ne pouvais apercevoir le chauffeur, mais le ressentais comme une personne sincèrement attentionnée, aimante. Nous parlions du futur, baignés par une douce lumière qui émanait de lui..