Écrire, c’est bon pour les doigts et la tête : on essaie de mélanger Faust et Frank Sinatra. Surtout, c’est une occasion d’aller à Londres, au Criterion, sur Picadilly, juste le temps de savourer du Earl’s Grey sans quitter des yeux la copie conforme d’une vieille connaissance : « Après tout, ce n’est pas la première fois qu’on enferme un enfant dans un coffre. D’ailleurs, du moment qu’on lui a laissé son arc et ses flèches, il ne peut pas avoir peur du noir. » Zéro partout, comme dirait Giminy Cricket.