
Robert, René, Moi et le Monde… La difficulté à « faire bien l’homme » est ici l’affaire de chacun — comme l’illustrent les figures complices de Robert et René — mais aussi quelquefois celles de notre siècle. Vade-mecum de l’anti-salaud, Faire bien l’homme est aussi bien un livre de « métaphysique appliquée », de pédagogie illustrée, de philosophie portative. Taillé en courts chapitres, le livre, qui emprunte à l’art de la fugue, trace quatre chemins à parcourir sans ordre, selon l’heure et l’humeur ou, au contraire, dans son déroulement plus initiatique.