
À toutes les villes de pierre il dit :
Je dois mettre en ordre ma vie
Au grand large vert d’or il chante :
Je dois mettre en ordre ma vie
Aux maçons de Bosnie lui offrant la vodka :
Mettre en ordre ma vie
À la patronne de restaurant, qu’il aime
Dans l’esquif de rubis, il stridule
Comme le mistral : Ma Vie
À la poésie, toujours plus chère étrangère,
Qui le préserve de la fureur,
Dans le cercueil, il chuchote : la Mienne!