
Une épidémie inconnue frappe Bruxelles. D’abord ce sont les oiseaux qui disparaissent, ensuite c’est au tour des habitants de succomber par centaines.
« Les symptômes sont clairs, on vomit, on chie du sang et on meurt dans les 2 ou 3 jours. »
La ville est mise en quarantaine, un couvre-feu est instauré et le gouvernement se retire à Anvers. Voilà pour la version courte.
Pourtant, le récit semblait commencer sur un tout autre mode – c’est même un des intérêts de ce scénario qui explore la limite de la fiction et se construit par basculements successifs. Le ton est d’abord serein et introspectif, on suit la vie d’une bande de copains, quelque chose de finalement assez léger. Mais rapidement l’histoire bascule dans le drame humain, sans que les protagonistes du récit n’en prennent tout de suite la mesure. La mort s’abat sur la ville, où plus aucun endroit ne semble vraiment sûr. Une véritable descente aux enfers qui nous amène de plain-pied dans la fiction et dans une action empruntée aux films catastrophes et autres fins du monde !