
Elisa Sartori questionne notre rapport à la langue, à l’apprentissage d’une langue étrangère. Comment la fait-on sienne ? Et si investir une nouvelle langue ne se limitait pas à l’acquisition d’une grammaire, mais représentait bien plus ?
Le livre se présente sous la forme d’un leporello, qui se déplie en huit volets et se lit recto-verso (soit seize planches) dans un mouvement circulaire pouvant se faire à l’infini.
Je connais peu de mots a reçu le prix de la première œuvre en littérature pour la jeunesse, 2021, décerné par la Fédération Wallonie-Bruxelles.