Ce recueil est un « enchantement », dit le poète Francis Gonnet. Et il ajoute : « Ces poèmes courts glissent en nous comme la pureté d’une eau paisible. Les mots choisis, touchant à l’essentiel, ont la sonorité et l’intériorité d’un chant sacré. C’est un vol suspendu, un silence dans notre vacarme. Derrière la faiblesse, la fragilité et l’obscur de nos vies, on découvre toute la clarté et l’espérance d’un souffle qui soulève la poussière et nous ouvre l’espace à l’infini. »
Peintre et écrivain née à Spa en 1953, Anne-Marielle Wilwerth pratique l’art du poème bref. Elle a publié une vingtaine de recueils de poésie, parmi lesquels Naître à l’immense (Les Chants de Jane), Vivre au plus près (Le Cygne), Là où s’étreignent les silences (Bleu d’encre) et, au Taillis Pré, Ce que le bleu ne sait pas du fragile ainsi que les Miroirs du désordre.