Brisant le mur du silence dressé autour de lui, Célestin est parvenu à retrouver la trace de ce « père inconnu » après lequel il courait depuis si longtemps. Mais il lui a fallu, pour cela, entrer en conflit avec sa tendre mère. Et le voici à la rue, avec, en poche – et pour seul trésor – le certificat de compagnon de son géniteur.

Pour le reste, il sait seulement que ce « Santello Antonin, dit La Fidélité de Carpentras  » était un sculpteur de talent, et qu’avant de venir se perdre en Ourthe-Amblève il avait travaillé chez un certain Huart, dont le chantier de marbrerie jouxtait le cimetière principal de la ville de Liége… Et voilà que, comme si c’était écrit, la simple quête d’identité du héros se double d’un voyage initiatique aux détours plus que surprenants !