
Sans renoncer à l’écriture, donc aux joies secrètes de la lecture, la poésie de Rose-Marie François renoue, ici encore, avec l’art des rhapsodes : un lyrisme sobre dans le mouvement de l’épopée. La Saga d’Îchanás vient du letton. Le mot est élucidé dans un poème de Mirage de Courlande.