« […] une poésie épurée, dense et sonore, qui creuse une relation à l’eau et au souvenir qui touche à l’inconscient. Il en résulte une sensation poétique puissante. »
Raymond Bertin. Voir, 9 avril 1998.
« […] une poésie épurée, dense et sonore, qui creuse une relation à l’eau et au souvenir qui touche à l’inconscient. Il en résulte une sensation poétique puissante. »
Raymond Bertin. Voir, 9 avril 1998.