« On entre plutôt dans une rêverie fantaisiste qui se rapproche d’une certaine dérive poétique. Comme beaucoup de parutions de l’Oie de Cravan, cette plaquette étonne et déstabilise […] »
David Cantin, Le Devoir (Genève), 19 février 2000
« On entre plutôt dans une rêverie fantaisiste qui se rapproche d’une certaine dérive poétique. Comme beaucoup de parutions de l’Oie de Cravan, cette plaquette étonne et déstabilise […] »
David Cantin, Le Devoir (Genève), 19 février 2000