
Quelques folios médiévaux, retrouvés par hasard dans le plat de la reliure d’un glossaire du XVIIe siècle, attirent le regard de chercheurs universitaires.
Dans sa traduction libre, Théodore Cocherot réalise un véritable tour de force poétique et inscrit le Miroir de vie dans le monde de la pensée plus que dans celui de l’histoire. Ce texte permet de toucher l’homme derrière l’Histoire, la pensée derrière la Philosophie. Un constat effrayant près de quatre siècles plus tard : l’homme n’aurait-il pas changé ?