Le dernier volet de la Face cachée de la ville nous conduit à Bramyran, ville d’un futur que nous voudrions tous éviter : technologique à l’excès, technocratique, fasciste et déshumanisée. L’inspecteur Colon et son fidèle Chris poursuivent leur enquête sur la face cachée de la ville, malgré les puissances de l’ombre qui tentent de freiner leurs agissements.
Des foyers de résistance s’organisent pourtant, dont les membres vont entrer en contact avec l’inspecteur et lui révéler le secret de ses origines et la véritable nature des êtres-frontières.
Né à Florence en 1962, restaurateur et sommelier de métier, Daniele Bacci a pratiqué la peinture à l’huile, l’aquarelle, le dessin, la gravure l’expérimentation de techniques mixtes. Il se dédie aujourd’hui à la micro-sculpture.
Né à Nice en 1968, David Giannoni vit à Bruxelles depuis 1987 après un détour par l’Italie. En 1990, il fonde Maelström, un projet multi-arts, multimédias, qui deviendra maison d’édition à part entière en 2002. En 2005, il crée la Troupe poétique nomade et deux ans plus tard le fiEstival, qui se déroule depuis chaque année à Bruxelles. Depuis 2007, il dirige la Maison de la poésie d’Amay. Il est également psychothérapeute (thérapoète), spécialiste de l’hypnose et de la transe.