
La poésie de Jacques Izoard (Liège, 1936-2008) est de tous âges. Dans ses délicieux bibelots poétiques s’entremêlent souvenirs, sonorités et sensations. On les déguste avec plaisir, on en joue et l’on peut même en écrire à son tour.
Et nous glissions à l’infini de paroles en paroles, Comme si le Chant jamais ne finissait. Murmure de murmure. Rivière sourde, mais qui mugit.
— Jacques Izoard