Gilles Vidal tisse des récits hirsutes, aussi hilarants qu’angoissants, dans la veine de Raymond Carver ou Richard Brautigan. Ces courts textes, autant porteurs de mélancolie de l’échec que d’une recherche effrénée d’un bonheur utopique, nous confrontent toujours à cet implacable constat : « Le plus dur reste à faire. »