Ce sont des aphorismes d’un homme qui marche et qui pense.
Vous allez me dire, oui, mais tous les auteurs d’aphorismes pensent, c’est évident.
Et vous aurez raison, tous les aphoristologues (aphoriseurs / aphorismeurs / …) méditent en observant autour d’eux ou à l’intérieur d’eux-mêmes.
De cette réflexion surgissent des phrases, des révélations, des fulgurances faites de mots qui s’enchevêtrent de manière inattendue, parce que l’aphorisme doit surprendre, étonner, déconcerter.
Massimo Bortolini déambule d’un bon pas dans la rue, puis s’arrête.
Il perçoit une image qu’il immortalise sur une photo ou s’en inspire pour la transformer en un énoncé dans lequel il joue sur les mots, sur les sens, sur les sonorités.
C’est ravissant, c’est malicieusement naïf, parfois.
C’est profond ou léger, joyeux ou désillusionné.
C’est bien, quoi !

 
Je finirai note de bas de page.
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C’est décédé, je meurs bientôt !
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M’accordez-vous cette coïncidence ?
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Quand tu veux te débarrasser de tes livres, prête-les.
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Merci de votre incompréhension.