
Textes généralement négligés, les écrits d’Aristote sur les animaux incitent aux rêveries marines. Sans doute avait-il fréquenté les rivages nombreux d’Eubée, de Macédoine, de Lesbos, d’Asie mineure. De Naples aussi, et son tombeau, ici, est dédié à la mer, aux îles mystérieuses, au volcan et aux plaines phlégéennes qui du moins l’auraient compris. Et aux amis.