
Les onze nouvelles de ces Beaux dimanches, plus cruelles qu’il n’y paraît, jouent avec ironie de nos illusions. Naviguant du japon au Canal du midi, elles mêlent le bleu au noir, l’atroce à l’humour. Elles nous mènent de la clarté des petits matins, promesses d’échappées belles, aux désespoirs des jours où la raison se perd. A moins que le Destin, pour une fois, ne lâche prise?