• Sous-titre: Architecture et réflexivité. Une discipline en régime d’incertitude / Architecture and Reflexivity
  • Auteur(s): Cahiers de La Cambre-Horta Architecture
  • Éditeur: La Lettre volée
  • Genre: Architecture Urbanisme
  • Péritexte: Textes français / anglais, 18 illustrations en noir et blanc
  • Format: 17 x 20 cm
  • Nombre de pages: 176 pages
  • ISBN: 978-2-87317-338-8
  • Parution: 2008
  • Prix: 16 €
  • Disponibilité: Disponible
  • Distribution: Exhibitions International (Belgique). Belles Lettres (France).

Ce numéro propose d’interroger la notion de réflexivité dans ses rapports avec la discipline architecturale. Alors que nous vivons dans un contexte que d’aucuns qualifient d’incertain, ce concept né dans l’esthétique kantienne fait aujourd’hui l’objet d’un intérêt renouvelé parmi de multiples champs. Quel sens cette notion recouvre-t-elle aujourd’hui ? De quelles réalités rend-elle compte ? Que subsiste-t-il de sa part esthétique ? Ce volume délibérément hybride associe sociologie, philosophie, architecture, urbanisme et contributions artistiques. Il entend ainsi confronter la pensée et l’action architecturales à une notion riche et stimulante mais également pragmatique et prudente. Une notion à même d’apporter des pistes instructives en matière d’architecture, à même d’honorer la « part esthétique » de la discipline.

Jean-Didier Bergilez, Sabine Guisse et Marie-Cécile Guyaux, « Éditorial » ; Jean-Louis Genard, « À propos du concept de réflexivité » ; Nathalie Heinich, « la Réflexivité comme méthode d’enquête : sociologie de l’inventaire du patrimoine » ; Marc Dumont, « l’Esthétique architecturale à l’épreuve du pragmatisme. L’exemple de la qualité urbaine dans deux projets d’aménagement à Nantes » ; Olivier Cornil, « Portraits » ; Benoit Moritz et Christophe Mercier, « Démarche participative et projets de logements publics : du nimbysme au wimbysme ?  » ; Rafaella Houlstan-Hasaerts, « Art contextuel en milieu urbain : de la réception esthétique comme outil de connaissance de la ville. Mexico City et Tijuana comme laboratoires » ; Nathalie Mertens, « Inventaire spatio-temporel illustré de Bruxelles » ; Marie-Cécile Guyaux, « la Réflexivité en objets. La pensée faible en architecture » ; Maarten Delbeke, « Apprendre de Minneapolis. À propos de la réflexivité de l’architecture monumentale contemporaine » ; Valéry Didelon, « Learning from Camp ».