Dans le domaine théâtral, on lui doit pourtant deux pièces dont l’esthétique était très en avance sur son temps, et dont la fécondité se révèle à long terme. Comme son ami Maeterlinck, van Lerberghe est sensible aux perturbations existentielles du quotidien. Dans les Flaireurs, il évoque l’irruption de la mort dans l’univers clos d’une mère et de sa fille ; dans Pan, l’arrivée intempestive d’un dieu païen bouleversant la routine d’un petit village. Ces deux pièces, l’une tragique, la seconde satirique, donnent la mesure du talent d’un dramaturge reconnu par ses contemporains.
Dans le domaine théâtral, on lui doit pourtant deux pièces dont l’esthétique était très en avance sur son temps, et dont la fécondité se révèle à long terme. Comme son ami Maeterlinck, van Lerberghe est sensible aux perturbations existentielles du quotidien. Dans les Flaireurs, il évoque l’irruption de la mort dans l’univers clos d’une mère et de sa fille ; dans Pan, l’arrivée intempestive d’un dieu païen bouleversant la routine d’un petit village. Ces deux pièces, l’une tragique, la seconde satirique, donnent la mesure du talent d’un dramaturge reconnu par ses contemporains.