
Didier SERPLET a parcouru Bruxelles de son regard décalé, à la recherche des petits riens qui disent tant d’une ville : les détails du bâti, devenus invisibles tant ils sont familiers et qui contribuent pourtant à personnaliser le paysage urbain. Avec une détermination empreinte d’un humour tendre, il a arpenté rues et ruelles muni de son appareil photographique pour rendre aux grattes-pieds, plaques d’égout et autres soupiraux – « les oubliés du petit patrimoine » – leur part de réalité et de poésie.