En pleine franchise, dans ses Métamorphoses, et aussi par le biais d’évocations vives du jazz, de Baudelaire, de Gaudí et de peintres contemporains, Roggeman esquisse un autoportrait, où la continuité et la spécificité de sa voix n’interdisent pas une évolution salutaire vers une nouvelle interprétation de la réalité. Tant il est vrai que tout nouveau poème / à chaque fois fait de lui un poète différent.
André Doms