L’Intelligence du bien a paru pendant la Première Guerre mondiale. C’est un essai qui invite à la transgression, au doute, à la remise en question et au dépassement des déceptions. Jeanne de Vietinghoff analyse une série de concepts à travers lesquels elle fait part au lecteur de ses réflexions quant à la meilleure et peut-être la seule manière possible de vivre.

Ouvrage de développement personnel, avec toutefois plus de nuances, de subtilité et de réalisme que ceux que l’on trouve aujourd’hui, parce qu’il évite une vision manichéenne et simpliste de la vie et du bonheur, reconnaissant qu’une vie exempte de souffrances est impossible.