
Au menu : Ensor par lui-même, ses hauts faits artistiques, sa défense du milieu naturel, ses insultes aux archi- tectes, peintres à manières « étriquées » et autres « vivisculpteurs », ses célébrations d’Ostende, de la mer, de la Flandre et, bien sûr, de l’éternel (c’est-à-dire Ensor).