Une photographie n’est pas faite de mots qui se taisent. Ni de quelque chose qui aimerait prendre la parole ou dire tout haut ce que le silence photographique aurait figé en elle.
Écrire, à partir d’une photo de Marc Trivier, ne suscite aucun bavardage. Récit ou fiction.
Ne reste alors qu’une seule possibilité : bouger en elle. S’essayer à ces charges.
Ne bouge pas ! n’est donc pas une traversée commentée de photos.
Mais bien plus des fixations. « Des déclics ».
Avant que toute lumière ne se loge. Tienne son apparence de surface.