Ce qui reste à demeure des empreintes, des passages, des silences, des bruits de tout, de tous. L’existence figée et en mouvement ; le temps continue même si suspendu. C’est une sorte d’inventaire que l’on dresse, de ce qui est, de ce qui a, ici, là, quand l’Autre ne peut plus voir, sentir, entendre, apprécier, rire, aimer, voire s’énerver, se lasser, crier, fuir : l’inventaire de l’absence.
C’est l’inventaire de la présence qui se dessine en cet inventaire de l’absence.