Catherine Van Rogger relate l’existence exemplaire de l’artiste, faite de détermination et de lucidité tour a tour amusée et amère. Ces petites scènes de la vie d’un peintre du XXe siècle n’ont pas l’ambition de rendre ce qu’a été véritablement la vie vécue par cet artiste, la plainte du fou que le temps recouvre. Rien n’est donc imaginaire, en aucune façon. Les paroles sont des faits, les noms sont des faits, les faits sont des faits. Le récit de ces petites scènes n’est pas exhaustif. On trouve de nombreux témoignages d’autres événements dans les correspondances de l’artiste.