
Aniel Mahasöhn tente, fil après fil, de reconstituer la toile où transparaît le visage de sa mère, Hanna. Il ne l’a jamais connue. Elle était Juive. Il cherche le visage de cette mère, foudroyée par la sauvagerie de l’homme, à Satyah, en 1942. Au travers des pages, c’est l’amour qui crie.