« Dès l’instant où je l’ai vue, je n’ai pas stoppé la machine à aimer. Elle était vraiment merveilleuse, tous les types la regardaient. Pas seulement pour ses yeux. Pour tout le reste. Tout ce qu’elle touchait s’illuminait. Elle avait une façon d’allumer la vie qui me faisait trembler. Ou bien alors c’est moi qui imagine. Mais c’est tout comme. »
Né en 1954. Études de philosophie à l’Université libre de Bruxelles. A publié : Bengt Lindström. L’origine et son expression (Magermans, 1988) ; Cobra, Nouvelles Éditions françaises, 1994 ; ainsi que de nombreux articles, préfaces d’expositions et conférences relatives à l’art et à la politique.