
« À première vue, Trop beau pour être vrai se présente comme un recueil de croquis, de copies très enlevées de reproductions trouvées dans des livres consacrés “aux grands maîtres de l’art”. Mais tout de suite survient une incertitude – et celle-ci fait tout basculer : qui copie ? » (Stefan Liberski) Entre hommage et exercice de style, le peintre Damien De Lepeleire poursuit le difficile équilibre entre humilité et prétention.