Après Prova d’orchestra (divertimento) (2014) et Nuova prova d’orchestra (2017), Ultima prova d’orchestra pose la dernière note à cette partition où bien plus que les subtils jeux de mots, on entre dans l’univers musical de l’auteur et de l’illustratrice et de leurs propres compositions qui pourraient se conclure par ce proverbe africain : « Tout Mizik, c’est Mizik. »
Michaël Glück est né vers la fin de la première moitié du siècle dernier est encore, croit-il, vivant. A été enseignant, lecteur et traducteur, directeur d’un théâtre, dramaturge associé à une compagnie de théâtre. Se consacre essentiellement à l’écriture depuis une vingtaine d’années. Multiples collaborations artistiques : théâtre, danse, marionnettes, arts plastiques musique, cinéma, vidéo.
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