« On est jamais délivré des choses tant qu’elles ne sont pas livrées aux autres », disait Guillevic. Ainsi, Claudine Bohi écrit-elle en quatrième de couverture, pour nous faire entrer dans son poème :
Quel est ce crime présent partout
toujours recommencé
et jamais repéré
mais toujours perpétré
ce crime perpétué ?