Racontées à la première personne, les nouvelles d’Un jour la montagne s’est déplacée révèlent l’univers envoûtant, à la fois cruel et absurde, de celui qui se fait parfois appeler Robocop — ce qui en dit long sur son autodérision.
Le monde de Magne Skåden se nourrit des rêves et des cauchemars qu’il n’avait, par la force des choses, jamais pu raconter auparavant ; rarement frontière entre l’imaginaire et la réalité n’aura été plus ténue. Ce recueil de nouvelles, effrayantes, comiques, étranges, fait souvent songer aux récits de Kafka, et entraîne ses lecteurs dans un voyage qu’ils ne sont pas près d’oublier.