« As-tu déjà entendu un aboiement sans chien ?
Un poème sans poète, un poisson invisible nageant dans le vide ?
Une chanson qui ne surgît pas d’un seul individu, que tu peux capter lorsque on se dissout dans le monde ?
C’est Martin Bakero. Ses poèmes doivent devenir ta voix. »
(extrait de la préface d’Alejandro Jodorowsky)