
« Rue Duquesnoy, il y avait un bar, du nom de la rue. Ce n’était pas qu’un bar : on pouvait s’y mettre nu, certains dimanches. Et vivre. J’étais en résidence à Passa Porta. Je découvrais Bruxelles. Le corps désiré des hommes. Et je me découvrais moi-même — dans les deux sens du terme. Aujourd’hui, le Duquesnoy n’existe plus mais je vis à Bruxelles. »
Vie et mort du Duquesnoy est un texte court et puissant où se mélangent avec intensité littérature et sexe.