C’est un nouveau regard sur la ville que nous offre Stéphanie Battiston à travers ses photographies. Parce qu’elles partagent la même intuition, elle a demandé à l’écrivain Pascale Tison d’accompagner les images de ses mots. À ceux qui s’attardent devant ce que la ville a de volatil, à ceux qui savent la désirer, la ville s’offre dans l’entre-deux de la lumière et de l’ombre, du geste et de l’immobilité, de la présence et de l’absence : « la photo transforme le hasard en essence ».